Togo/ La Ministre Ablamba-Johnson et UNIR remercient Bè
Par la rédaction
L’Association Femmes natives de Bè ne pouvait imaginer une meilleure compagnie ce mercredi 12 juin 2024 dans le jardin du centre communautaire de Bè. La Secrétaire générale de la Présidence Sandra Ablamba-Johnson à la tête d’une délégation UNIR a rendu visite à la communauté Bè. En toile de fond, célébrer l’apothéose de la fête des mères. Une occasion également de remercier ces vaillantes femmes qui ont plébiscité les candidats du parti au pouvoir lors du double scrutin du 29 avril 2024.
En véritable marraine de l’association Femmes natives de Bè, Mme Ablamba-Johnson ne pouvait manquer l’occasion d’être aux côtés de ces dernières. Elles qui ont largement contribué à la victoire écrasante du parti UNIR lors des Législatives et régionales dernières. Et ça tombe bien puisque ce regroupement célébrait l’apothéose de la fête des mères. La ministre a livré un message de réconfort du Chef de l’Etat Faure Gnassingbé selon elle sensible aux difficultés quotidiennes de la femme togolaise. Au rang de ces défis, les problèmes d’inondation qui n’épargnent pas les femmes du canton de Bè.
‘‘La communauté des femmes natives de Bè est un groupe de femmes qui s’est engagée lors des élections pour la victoire de UNIR. Nous avons saisi cette opportunité également pour les remercier. On est reconnaissant quand quelqu’un tient parole, quand quelqu’un respecte un engagement et lorsque des quartiers entiers, des communautés entières décident de mettre le choix sur vous, c’est une forte responsabilité, a expliqué Myriam Dossou-d’Almeida, députée UNIR Golfe.
Du côté des bénéficiaires c’est une démarche très appréciée: ‘‘nous célébrons l’apothéose de la fête des mères qui a commencé depuis le 24. La secrétaire générale qui est notre marraine, a bien voulu venir au secours des femmes qui ont été victimes des inondations. Elles ont crié vers elle, elle a entendu leur cri de détresse et elle est venue leur faire un geste de soutien. C’est un plaisir de savoir que les autorités sont à l’écoute, de savoir que les autorités écoutent la voix, les cris des populations’’, a lancé Kékéli Hor-Afemenusui épouse Aklassou, la promotrice de l’Association Femmes natives de Bè.
A noter que le parti UNIR ne fait que perpétuer une tradition qu’il s’est imposée. Celle de retourner pour aller remercier sa base électorale. Pour les femmes natives de Bè, c’est l’occasion rêvée de formuler des doléances pour l’amélioration de leurs conditions de vie. Et la Secrétaire générale de la présidence ne se ferait pas prier sans doute pas pour aller rendre compte à son « patron »